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Développeur territorial (DT) chez NOTUS energy c’est avant tout une histoire de partage et de confiance. Découvrez ce métier passionnant avec Thomas.  [#Onleurtireleportrait]

Originaire de Normandie, Thomas suit des études de géologie à UnilaSalle. Diplôme en poche, il rejoint une entreprise du secteur des énergies renouvelables. Pendant plus de deux ans, il œuvre comme responsable foncier en Aquitaine. En 2020, il se tourne vers le domaine de la méthanisation. Ce fut de courte durée car en 2021, les énergies éoliennes et solaires lui manquent. C’est ainsi, qu’il intègre NOTUS energy en septembre 2021 en tant que Développeur territorial. Depuis 3 ans, il accompagne NOTUS energy dans son développement en Hauts-de-France et en Normandie

En quoi consiste ton travail ?

« Mon rôle est d’être présent sur le territoire, de rencontrer les acteurs locaux motivés pour engager des projets d'énergies renouvelables dans le monde rural. Nous, les DT, sommes le visage de l’entreprise, nous devons établir des relations de confiance avec les gens qu’on rencontre. » Explique Thomas.

Les DT doivent avoir la capacité de répondre avec précisions aux questions des communes et des particuliers. Cela exige une connaissance pointue du secteur des énergies renouvelables et ses évolutions tant sur le plan législatif que technologique.

« On ne devient pas développeur territorial avec une formation spécifique. C’est la curiosité, l’échange, et surtout l’intérêt pour les autres qui font la différence. » Ajoute-t-il.

Développeur territorial, un métier rythmé ?

Dire qu’un DT n’a pas de semaine type, ce serait une solution de facilité. Il est vrai que leurs journées ne se ressemblent pas mais leurs semaines suivent un rythme bien établi : la prospection, le suivi de projets, les signatures de contrat, et bien sûr le partage d’informations avec ses collègues.

Des moments symboliques

Le métier de développeur territorial, c’est aussi un épanouissement personnel qui trouve sa source dans différents aspects du métier en fonction des personnalités.

« Pour moi, rencontrer les agriculteurs, échanger, connaître leur façon de fonctionner, c’est l’une des facettes de mon métier que je préfère. J’aime aussi proposer des projets innovants adaptés aux contraintes de mes interlocuteurs. » Confie-t-il.

Un conseil pour ceux qui souhaitent se lancer ?

« Il faut être autonome et avoir soif d’apprendre chaque jour. Aimer la campagne et avoir le sens de la négociation sont également des atouts. Ce métier est accessible à tous ceux qui sont prêts à s’engager et participer au déploiement des énergies renouvelables sur le territoire français. » Conclut Thomas.

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